SUR L’ENIGME CINÉMATOGRAPHIQUE D’UN ÉCRAN QUI NOUS REGARDE…

Le film précédent de Sol Suffern-Quirno et Rudolf di Stefano – Vies parallèles (2014) – délaissait ses spectateurs sur l’énigme conclusive d’un regard interrogeant une nature doublement opaque : caméra mobile scrutant un ciel sombre et indifférent puis s’immobilisant sur les images statiques d’un herbier (documentation de plantes agrafées sur l’écran de papier et livrées à […]

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